Les droits de l’enfant ne sont pas une option. L’État a l’obligation de veiller à ce que l’ensemble de leurs droits soient respectés.
Mais la vision des droits de l’enfant à la française correspond davantage à un mantra que l’administration se répète : “L’école, c’est bon pour tous les enfants”. Chaque droit bafoué est une atteinte directe à l’intérêt supérieur de chaque enfant (art 3) qui a pourtant, en France, une portée constitutionnelle.
Nous, parents, ne sommes plus habilités à soutenir nos enfants même si nous en avons la volonté et la possibilité.
C’est désormais l’État qui décide, plus précisément votre DASEN. Choisissez bien votre secteur de résidence…car nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne. Un fait discriminatoire qui ne choque pas toujours les juges non plus. Seuls nos élus peuvent nous venir en aide pour abroger cette loi.
Art. 19 de la CIDE : droit d’être protégé contre toutes les formes de violences.
Si le directeur de l’école refuse de reconnaître le harcèlement de votre enfant, vous ne pouvez plus décider de l’instruire à la maison même temporairement pour le mettre en sécurité.
Art. 24 de la CIDE : droit de jouir du meilleur état de santé possible
Une pause en instruction en famille pour protéger nos enfants, même dans le cadre d’une phobie scolaire, pour certaines académies, c’est mal.
Art. 6 de la CIDE : droit inhérent à la vie, à la survie et au développement
Handicap, maladie. Manque d’aménagements scolaires faute de moyens ? Quand un parent d’enfant à besoins particuliers demande à pouvoir l’instruire à la maison, dans son intérêt supérieur, l’État peut estimer que son atypicité, sa différence ne justifie pas cette demande.
Art. 29 de la CIDE : droit à l’éducation
“Le droit à l’éducation c’est avoir la possibilité de développer son plein potentiel, sa personnalité propre et de voir sa dignité protégée. Pour donner plein effet à ce droit, chaque enfant doit pouvoir évoluer dans le mode d’instruction qui lui convient le mieux.”
Art. 29 de la CIDE : droit à l’éducation
Art. 31 de la CIDE : droit aux loisirs
Si votre enfant n’a pas une pratique culturelle ou artistique suffisamment intensive aux yeux de l’État, ce dernier peut refuser l’instruction en famille à un enfant qui souhaite assouvir pleinement sa passion tout en continuant à s’instruire sur les domaines fondamentaux.
Ensemble, défendons la liberté du choix de l’instruction et des apprentissages !
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